Depuis le lancement de Street View en France en 2008, vous avez eu la possibilité d’explorer virtuellement les grandes villes du pays et même des endroits plus insolites comme Disneyland Paris ou encore l’itinéraire du Tour de France. Aujourd’hui, Street View s’enrichit et s’ouvre à de magnifiques régions françaises jusqu’alors non couvertes par le service.





Une grande partie des routes françaises est maintenant disponible en ligne grâce aux services que Street View procure autant aux internautes français et aux entreprises.

En même temps que Street View étend sa couverture, les ingénieurs de Google Maps ont également travaillé sur les données cartographiques en France, à Monaco et au Luxembourg. Cela se traduit par des améliorations dans les détails topographiques des cartes comme par exemple celles de campus universitaires. Un progrès qui est également dû à l’incorporation de données cartographiques issues du renommé Institut Géographique National.

C’est ainsi qu’une toute nouvelle série d’images plonge désormais les utilisateurs du monde entier au coeur de la campagne française, de ses exploitations viticoles et de ses sites naturels. Parmi les joyaux visibles, ceux-ci pourront découvrir entre autres choses, les vieux volcans endormis de l’Auvergne, la Bretagne et sa riche histoire, jusqu’à la beauté sauvage de la Pointe du Raz. Avant de choisir leur spot préféré, les surfers pourront même explorer les célèbres rivages atlantiques et les villes côtières de La Rochelle jusqu’à Biarritz.

Quoi d’autre encore ? A partir d’aujourd’hui, vous pouvez aussi partager vos remarques concernant les cartes de ces pays. Ainsi, lorsque vous effectuez un zoom sur l’une de ces régions, vous verrez apparaître la fonctionnalité “Signaler un problème” dans le coin en bas à droite de la carte. Si vous souhaitez nous signaler une mise à jour que vous jugez nécessaire (comme l’ouverture d’un nouveau café dans votre rue ou une nouvelle piste cyclable dans un parc), vous avez la possibilité de nous le faire savoir afin que nous corrigions le maximum d’erreurs possible dans les jours qui suivent.


D’après le blogpost paru en anglais et rédigé par Christoph Oehler, Technical Program Manager